PETITION
J’affirme, et je n’ai pas de mal à l’écrire que les petits ruisseaux font les grandes rivières, et j’en profite pour récuser sans appel la trop facile réplique : « c’est de la démagogie, du populisme, et ce n’est pas cette économie qui redressera la France «
Je propose à nos gouvernants de gérer en » bon père de famille « l’entreprise France. Pour ce faire, ci-dessous une liste non exhaustive de quelques propositions. Ces propositions si elles étaient retenues entraineraient un accroissement du chômage ; mais exceptés les élus souvent « cumulards « et titulaires d’un « job » qu’ils pourraient reprendre, les autres personnels n’ayant pas atteints l’âge de la retraite et désirant conserver un poste au service de l’état, ou des territoires pourraient être formés à d’autres postes où les personnels sont en nombre insuffisants.
PROPOSITIONS :
-Suppression de la moitié des députés
-Suppression de 60% des sénateurs
-suppression de 23 ministères
-suppression du premier ministre (quinquennat)
-Suppression des départements
- Regroupement des régions (7 grandes régions)
-regroupement des chaînes de télévisions (une seule grande chaine et ARTE)
-Suppression, ou diminution drastique des commissions et agences diverses : 1400 environs actuellement.
- Regroupement des communes, genre communauté de communes, mais sans rajouts de frais, de rémunérations etc. Ces regroupements n’ont qu’un seul but la mutualisation des moyens et la rationalisation, avec pour corollaire la baisse des coûts.
Cette liste incomplète si, elle était appliquée aurait valeur d’exemple. Elle diminuerait la charge de la dépense publique, redynamiserait les entreprises, redonnerait de l’espoir, du courage, et si on ajoute une stabilité fiscale au moins à moyen terme avec une volonté farouche de simplification ( ex : le code du travail Suisse et le notre, en autres ) on peut croire à une inversion totale du processus actuel, qui lui nous à amené au bord du gouffre.
Au bord du gouffre…… je ne souhaite pas que la France fasse un pas en avant , mais un bond en-avant.
Reste non pas l’éducation nationale, mais L’ENSEIGNEMENT, la RECHERCHE et les INVESTISSEMENTS d’AVENIR et aussi la vraie lutte contre l’insécurité.